D'un lieu en dehors du temps et de l'espace où se dresse une gentille chaumière, s'échappent d'énormes ronflements.Un être divin sommeillait.
« Nom de moi ! Je me suis fait un bon gros roupillon. J'aurais jamais dû picoler avec ce soiffard de Père-Nain-ël. Allez c'est pas tout ça mais je vais aller voir ce que mes créatures deviennent. »
(nda: Oui cela peut surprendre qu'un dieu se parle tout seul, mais à chacun ses lubies hein...)
En jetant un œil sur l'ordre des mondes, Schlavbeuk (c'est son nom oui tu l'as deviné... Pardon) fut surpris:
« J'vois pas double pourtant. Qu'est-ce que c'est que cet univers avec deux fois Nain-World ? Je m'en vais te corriger ça immédiatement »
Ouvrant son divin panel d'administrateur, Schlavbeuk chassa d'abord quelques créatures innommables cherchant à corrompre son royaume, puis se mit au travail. Voyant que cela était bon il partit se faire un petit café.
SOUDAIN !!!
Alors que la divinité remplissait sa cafetière à injection directe, dans son dos, par la fenêtre ouverte, un petit Graounet pénétra et d'un coup de patte chamboula quelques mondes, puis reparti d'où il était venu.
Schlavbeuk, qui ne s'était rendu compte de rien tant l'action avait été rapide, envoya alors son divin souffle glacé, préservant ainsi l'existence même des nains, avant de mettre en branle son univers suivant son plan, faussé par le fourbe félidé. Par sûreté il envoya un de ses émissaires sous la forme d'une petite créature rose à sabots, ayant selon que cela l'arrange ou pas ailes et corne. Malheureusement la pauvre créature se basant sur les mauvais plans ne suspecta rien et scella la forme de l'univers.
Quelques temps plus tard...
En lisant les prières qui lui étaient adressé par ses sujets, l'Être Suprême fut surpris de constater que des erreurs étaient apparues. Être parfait, omniscient et plein de bonté, il se contenta de gronder avec gentillesse ses créatures à griffes et à sabots avant de tout remettre en place.
GGGGGRRRRRRRRAAAAAAAAOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUU
Les bonshommes de neige :
Mes petits amis de Nainwak, Il est temps pour moi de vous annoncer une bien triste nouvelle : Je n'existe pas.